Une information relativement peu relayée dans les médias. Hier, l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a annoncé que des traces d'iode radioactif "trop faible pour constituer un danger" ont été détecté dans l'atmosphère de la France.
Une présence "tout à fait inhabituelle" nous dit-on. Heureusement... Et toute la question est de savoir d'où ça vient, car la seule dont les scientifiques disent être sûr, c'est que ça ne vient pas de la centrale de Fukushima.
Alors l'enquête a été lancée pour savoir d'où viennent ces traces de radioactivité. Des calculs de retro-trajectoires ont été faits pour remonter à la source qui pour l'instant reste inconnue. Les premières trace sont été détectées le 11 novembre dans l'atmosphère de la République Tchèque. Puis la Pologne, l'Autriche et la Slovaquie ont fait les mêmes détections. Alors pour l'instant la déduction fort subtile des scientifiques est que : "cela laisse penser que le rejet viendrait plutôt d'Europe centrale ou d'un peu plus loin".
