Il est bien connu que pour déstabiliser des prisonniers ou des personnes que l'on souhaite faire parler, des pratiques comme la privation de sommeil, les flashes de lumières incessants, ou les bruits fort sans interruption sont des pratiques courantes.
Guantanamo, le centre d'emprisonnement de prisonniers capturés par l'armée américaine en Irak e en Afghanistan ne fait pas exception à la règle. Ainsi, rapportent désormais d'anciens geôliers, des prisonniers ont été soumis à des périodes de musiques de 72 heures sans interruption, à un volume de 120 décibels. 120 décibels c'est le bruit d'un atelier de chaudronnerie. Le seuil de la douleur à est 130 décibels.
Les geôliers disc-jockeys n'y allaient pas de main morte : hard rock, heavy metal... Mais ils avaient aussi une botte secrète pour faire craquer leurs prisonniers : ils leur passaient de Britney Spears.
Et c'est véridique :-)
